L’eau, l’air, la terre… il ne lui manque que le feu. À 27 ans, cet amoureux de la nature domine pratiquement tous les éléments qui la constituent. La faute à des parents attachés à leurs racines, à leur territoire ponot, à leur environnement. « Quand j’étais petit on partait souvent en balades, en randonnées… je leur dois probablement mon goût pour les grands espaces, le monde extérieur. »
Un monde extérieur qu’Eloi Rondeau s’est très vite décidé d’apprivoiser. À 10 ans, il découvre le cerf-volant. Alors que la majorité des chérubins abandonne leur trésor d’un été une fois la plage quittée, lui continue de se passionner pour cet engin. Jouer avec le vent, utiliser sa force de traction et se laisser happer pour quelques millièmes de secondes dans les airs… Le jeune Éloi se rend vite compte que ce petit bout de voile pourrait un jour lui donner les ailes d’un oiseau. Il grandit, et sa passion aussi.
À 17 ans, avec « un groupe de potes » du lycée Saint-Joseph du Puy, il découvre le snowkite (ski tracté par une voile) aux Estables et trouve enfin une réponse à ses aspirations de liberté, d’altitude, et d’adrénaline. « J’avais un bon petit niveau en ski et j’adorais ça, ç’a été pour moi l’occasion d’allier mes deux passions dans un cadre unique. »
La suite de ce portrait dans notre édition papier 
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